Porte du Dimanche, tire son nom du marché hebdomadaire qui autrefois (12ème siècle) se tenait à ses abords. C’est la seule porte de la muraille qui joue encore le rôle de passage, elle permet d’accéder à la pointe sud-ouest de la Médina.
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Avec les Almohades (XIIème siècle) le site de Rabat connaîtra le début d’un parcours historique continu et extraordinaire, fait de rayonnement et d’activité. Rabat connut toutefois une ère de déclin à partir de 1253, à l’avènement de la dynastie des Almoravides, qui choisirent la ville de Fès comme capitale de leur empire. Mais c’est l’arrivée massive à partir de 1609 des Morisques d’Andalousie expulsés d’Espagne lors de la Reconquista, qui...
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L’édification du palais royal de Rabat, a débuté au milieu du XIXème siècle sur les ruines d’un ancien palais. Appelé également Dar El Makhzen, majestueux et protecteur, l’édifice est un bel exemple de l’art marocain. Entouré d’une enceinte, son entrée principale donne sur une vaste esplanade, le Méchouar, servant aux cérémonies royales, en plein air.
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La Porte du Départ, est la plus grande porte de l’enceinte Almohade. Son décor est riche et remarquablement exécuté, elle présente quatre salles (coudées à l’origine) dont la première porte une intéressante coupole à cannelure. Elle est aujourd’hui reconvertie en galerie d’art.
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La seule porte dans la face sud de l’enceinte Almohade, elle permet de rejoindre la route qui conduit à l’arrière-pays. C’est également la plus petite porte et la plus modifiée du point de vue architectural, notamment au 18e siècle par le Sultan Alaouite Sidi Mohammed ben Abdallah (1757-1790).
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Bab Bouiba (Petite porte en arabe), s’ouvre à l’extrémité sud de la rue Bouiba en continuité de la rue Sidi Fateh en pleine Médina de Rabat. Son nom lui vient du fait que sa voûte était si basse qu’un homme de grande taille ne pouvait la franchir sans se baisser. C’est une simple porte droite flanquée de deux tours massives, c’est une porte Alaouite réalisée par Sidi Mohammed Ben Abdellah...
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Située sur la rive gauche de l’oued Sebou, à 14 km de Machraâ Bel Kisiri (commune rurale de sidi El kamel, la Caïdat de Dar el Gueddari), la ville antique de Banasa connue aussi sous le nom de Sidi Ali Boujnoune a été citée par plusieurs historiens anciens, comme Ptolémée et Pline l’ancien.
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Construit sous le règne du sultan Moulay Hassan 1er, les travaux furent finis en 1889 et il fut inauguré en 1902. Le Fort Rothenburg est l’œuvre de l’ingénieur allemand Walter Rothenburg, d’où son premier nom. Il devait abriter et supporter deux énormes canons de 30 tonnes chacun. La firme allemande Krupp, spécialisée dans l’armement lourd de l’époque, en avait fait cadeau au sultan. Il ordonna alors la construction du fort...
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Sur l’avenue Mohammed V se dresse le bâtiment du Parlement, austère et raffiné à la fois. Ancien Palais de justice de Rabat cette bâtisse a été construite par l’Architecte Laforgue qui a eu pour mission, dès son arrivée au Maroc en 1913, soit un an avant la guerre, de construire plusieurs équipements d’envergure.
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La Grande Mosquée Almohade « Jamaâ al-Aâdam », s’élève au milieu du quartier Talaâ et domine presque toute la Médina. C’est la deuxième plus vieille Mosquée du royaume après celle d’ Al Quaraouiyine. D’une superficie de 5 070 m2, la grande mosquée de Salé possède neuf portes dont la principale perce le mur de la qibla.
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La médersa mérinide (ou médersa Abou Al Hassan) est la seule médersa encore visible dans la médina de Salé. Elle accueillait des étudiants venus de tout le pays en quête de savoir et de connaissance, malgré sa petite superficie ne dépassant pas les 180 m2.
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Monument emblématique de Salé, Bab Lamrissa, appelée aussi Bab Mellah, est une porte fortifiée datant du XIIIe siècle. Ancienne porte maritime, elle fait partie des principales portes de l’actuelle enceinte de la médina de Salé et en est la plus imposante. Elle constitue l’une des deux portes monumentales d’un ancien arsenal maritime, bâties entre 1260 et 1270 par les mérinides .Sa construction est décidée après le saccage de Salé par...
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Littéralement “bastion des larmes” , il se trouve à proximité du mausolée de Sidi Ben Achir. Nommé aussi Scala Al Qadima, borj al Caïd,borj al Hassani , est un ancien bastion qui commandait l’embouchure du Bouregreg . Elevé à la place d’une fortification ancienne, il fût restaurée par A. Fennich, qui y remploya les pierres de la Qasba Gnaoua qu’il venait d’abattre, d’où le nom de Borj Addoumoue. L’édifice fût...
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Bâtie au XIVème siècle par les Mérinides sur les ruines de l’ancienne cité romaine de Sala Colonia, la nécropole du Chellah se situe à 2 km du centre ville hors de l’enceinte Almohade. D’après les historiens et les archéologues, le site de Chellah fut sans doute la plus ancienne agglomération humaine à l’embouchure du Bouregreg. En témoignent les nombreux comptoirs fondés sur les côtes méditerranéennes et atlantiques par les Phéniciens...
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Juste en face de la Tour Hassan se dresse le mausolée Mohammed V, monument d’une beauté inégalée. Sa construction débuta en 1962 et s’acheva en 1971. Ce monument est dédié à la mémoire du défunt monarque Mohammed V, très aimé par le peuple qui l’a toujours considéré comme le symbole de la Libération de la Nation. Au sein du mausolée on peut également voir la tombe de son successeur, Feu...
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La Tour Hassan est considérée comme le symbole de Rabat, c’est un des sites les plus célèbres du royaume. La tour Hassan reste l’unique vestige, de ce qui devait être, à l’instigation du sultan almohade Yacoub Al Mansour (XIIème siècle), la plus grande mosquée du monde musulman. Ce projet surdimensionné n’allait pas survivre, à la mort de ce dernier, en l’an 1199, ni plus tard, au tremblement de terre de...
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Le musée olympique est dédié à la conservation des objets et des articles de toutes sortes (médailles, trophées, coupes, tenues…), qui constituent le patrimoine commun sportif national depuis la création du Comité National Olympique Marocain, avec le concours des athlètes et l’implication des fédérations sportives nationales. Ce musée a pour mission de sauvegarder et de valoriser la richesse du patrimoine sportif et collectif national et d’assurer son legs et sa...
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La muraille des Andalous délimite la partie méridionale de la Médina. À sa construction au début du xviie siècle, elle délimite la partie où s’installent les réfugiés morisques de la partie sud de la cité almohade projetée, pratiquement inhabitée et occupée principalement par des champs2. Longue de plus de 1,4 km, la hauteur de la muraille varie entre 4,9 m et 5,5 m pour une épaisseur moyenne de 1,65 m....
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A une quinzaine de minutes (à pied) du centre de la ville de Rabat, à l’embouchure gauche du Bouregreg se dresse une véritable forteresse datant du XIIème siècle : la Qasbah des Oudayas. Avec sa monumentale porte almohade, la kasbah demeure un site saisissant offrant aux visiteurs une beauté inédite. Elle englobe un jardin de style andalou, un musée , des riyads et d’anciennes mosquées. . L’influence andalouse est omniprésente...
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Selon une ancienne tradition, le personnage dont la mosquée porte aujourd’hui le nom, Moulay el-Mekki, s’est installé à Rabat après avoir quitté sa famille – celle des Chorfa d’Ouezzane – à la suite d’un conflit avec ses frères. Si l’on en croit aussi cette tradition, Moulay el Mekki soigna un riche commerçant d’origine andalouse, d’une maladie incurable qui, en reconnaissance, lui donna sa maison. Celle-ci était voisine d’un petit sanctuaire...
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La mosquée de la Kasbah connue sous le nom de Jamaà al- Atiq, a été fondée en 1150 sous le règne d’Abdelmoumen. Du fait qu’elle est restée toujours ouverte à la prière, elle a subi plusieurs remaniements. On sait d’après un auteur ancien que le sultan alaouite Sidi Mohamed ben Abdellah a fait reconstruire cette mosquée par un renégat anglais baptisé Mohamed al- Inglizi.
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Situé en plein cœur du centre-ville, l’avenue Mohammed V prend naissance au pied de la mosquée As Sounna pour se terminer au Boulevard El Alou. Cette avenue, l’une des plus belle de la capitale, frappe par sa belle fontaine et ses nombreux palmiers, offre aux visiteurs une promenade exceptionnelle. On y trouve le Parlement du royaume du Maroc, La Grande Poste et la Banque Al Maghrib se font face, ainsi...
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Elle fut construite sous le règne du sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah vers 1785. La bâtisse se caractérise par ses vastes dimensions, sa parfaite régularité et son extrême simplicité. L’édifice est un carré de 74.70m sur 74.50m. Sa superficie atteint 5565m2 et en fait la quatrième grande mosquée du Royaume après celles de Hassan à Rabat (25512m2), de Hasan II à Casablanca et de la Qaraouiyne à Fès (6300m2).La salle...
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Connue aussi sous le non de Sidi Al Ben Ahmed, cette ville antique est un port fluvial de l’époque romaine au Maroc. Elle relève du territoire de la Commune de OuladSlama, sur la rive gauche de l’oued Sebou à environ 10km au nord de la ville de Kénitra.
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Inauguré le 7 octobre 2014, le Musée d’Art Moderne et Contemporain Mohammed VI est la première institution muséale du royaume à se consacrer entièrement aux arts modernes et contemporains. Ce musée est également la première institution publique marocaine à respecter les normes muséographiques internationales. Le MVIM a pour objectif de couvrir l’évolution de la création artistique marocaine en arts plastiques et visuels, du début du XXe siècle à nos jours....
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D’une superficie de 20.832 m2, La nouvelle Bibliothèque Nationale est une institution publique et culturelle qui permet, grâce à des moyens de diffusion dynamiques et modernes, et à la mobilisation des nouvelles technologies de l’information, d’accueillir un large public et d’animer l’ensemble du réseau documentaire marocain. Elle a, aussi, la charge de conserver et de restaurer le patrimoine documentaire.
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Ce musée abrite une vaste collection numismatique et artistique qui reflète plusieurs siècles d’histoire du royaume. Composée de plus de 30.000 pièces de monnaie, objets, instruments monétaires et billets de banque, la collection numismatique retrace le long d’une fresque chronologique l’histoire de la monnaie et du billet marocains depuis l’antiquité jusqu’à à nos jours. La galerie d’art expose de façon permanente une collection riche de plus de 800 œuvres d’art....
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La cathédrale St Pierre a été inaugurée le 17 novembre 1921 par le résident général Hubert Lyautey. C’est l’œuvre de l’architecte Adrien Laforgue. Elle se situe sur la place Al Joulane dans un ensemble architectural ordonnancé en place circulaire Elle est toujours en fonction ; la messe y est célébrée quotidiennement. Une partie de son ancien presbytère est occupée actuellement L’Institut français. La place Al joulane est caractérisée par l’architecte...
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Al Mehdiya se situe sur la rive gauche du Sebou, à une trentaine de kilomètres au nord-est de la ville de Salé. Construite sur un escarpement rocheux, ses fortifications se dressent au bord de l’Atlantique pour dominer la plaine côtière et protéger l’embouchure de l’oued. Plusieurs monuments s’élèvent encore à l’intérieur de la citadelle et qui datent de plusieurs périodes historiques et qui témoignent de la diversité des influences culturelles...
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La porte Bab El Kébir a été constuite en 1150 par le calife Abdelmoumen et constitue l’un des joyaux de l’architecture des Almohades. Longue de 38,60 m, large de 16 m et haute de 13 m, cette porte se compose de trois salles qui se succèdent en enfilade : La première (7,48 m x 7,12 m) est couverte d’une coupole sur trompes; trois marches permettent le passage à la seconde...
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Le Mellah de Rabat est un ancien quartier entouré de murs, à plusieurs accès. C’est une sorte d’enclave ayant son propre cachet en comparaison avec les autres quartiers en raison de son ambiance animée par des commerçants, des marchands ambulants et autres activités qui sont disséminés dans ses ruelles qui grouillent de chalands.
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Pour ceux qui ne le savent pas en core (80% des rbatis), il est possible d’admirer au musée des sciences de la terre le magnifique squelette d’un dinausore sauropode de 15 m de long et vieux de 15 millions d’année. Digne de Jurassic Park, il a été découvert en 1979 dans la région d’Azilal dans le haut-atlas. Dans ce musée, on pourra aussi, à travers l’exposition, retracer l’histoire géologique des...
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Fondé en 1991 c’est un musée ethnographique privé marocain situé dans la commune de Sidi Bouknadel, près de Salé, sur la route de Kénitra. Il présente diverses collections : instruments de musiques andalous et berbères, armes anciennes, habits traditionnels, tapis, bijoux, monnaies, textes coraniques, etc.
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Le Musée Maroc Telecom a ouvert le 24 septembre 2001, le premier musée consacré à l’histoire et aux technologies des télécommunications au Maroc. Installé depuis 2013 dans un espace conçu sur mesure au rez-de-chaussée de la tour Maroc Telecom, il présente, sur plus de 800 m2, une riche exposition d’objets qui raconte et retrace l’histoire de la téléphonie et des télécommunications en général et du Maroc en particulier.
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Le Musée a été aménagé en 1915 dans les anciens pavillons érigés sous le règne du Sultan Moulay Ismaïl (1672-1727). Par son architecture, son décor, son jardin, le bâtiment constitue à lui-seul un chef-d’œuvre. Le musée y a été installé dès 1915. Il est en cours de rénovation…
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Il fut décidé en 1930 de transférer les objets de Volubilis à Rabat, afin de créer un musée archéologique de grande envergure en plein centre de la capitale. Les salles d’expositions furent construites autour du bâtiment administratif, et le musée pris sa forme architecturale définitive en 1952, avec l’achèvement de la grande salle ovale (salle des bronzes). En 2014, le Musée national d’archéologie de Rabat, comme 13 autres musées marocains,...
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Construite en 1197 par Yaacoub Al Mansour Al Mouahidi, Bab Rouah est la plus grande porte de l’enceinte almohade ( 28 m de longueur, 27 m de profondeur et 12 m de hauteur) et la plus richement décorée. La porte donne accès à quatre salles carrées de 5,65 m de côté communiquant entre elles par deux vestibules de 4,20 m sur 2,20 m. Au début des années 60, la porte...
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La Galerie d’Art du Crédit Agricole du Maroc est un espace destiné à valoriser le patrimoine marocain autant traditionnel dominé par la ruralité que moderne largement influencé par l’urbanité. C’est dans l’alliance de ces deux réalités complémentaires que la galerie d’art du CAM entend promouvoir le travail de la création contemporaine des artistes marocains
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